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Et rouler vers loin,
Gouter à d’autres steaks
retrouver la France toute cuite encore des « épisodes neigeux »
Vers Chartres cette fois, c’est joli Chartres, belle cathédrale, belles ruelles un peu vides, beaux restos un peu vides.
Dont un à l’ombre du portail Nord, qui vous sert pour onze euros une petite part de tarte pas cuite, ou un hamburger aux frites surgelées à peines trempées dans l’huile fraiche, qui vaut le détour par ses boiseries anciennes et son parfum surrané.
Pour ma part, j’eu droit à un foie de veau poêlé délicieux.
mais le pichet de vin était glacé.
Je répète: à l’ombre du Portail Nord, un petit escalier, une petit aspect crêperie. Si vous n’y prenez pas de leur bœuf, ils vous le ferons payer.
.l’hôtel lui est en rénovation, tirant un trait sur ses belles robinetteries d’opérette, ses portes qui grincent, ses couloirs propices aux considérations opaques de commissaires bien français. On pourra y caser bientôt d’hardis Nippons, de joviaux amerloques qui n’y verront que le prolongement des ruelles proprettes de la vieille ville, elle même triste de n’avoir pas accueilli the Amelie Poulin.
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Mais c’est vraiment beau Chartres, et flotte dans la cathédrale, quand vient le soir une atmosphère si fabuleuse qu’ Harry Potter s’y oublierai.
0 Réponses to “…qu’il fallu repartir”