Parfois quand même je l’avoue, j’ai désormais une petite inquiètude en gagnant mon siège,
ira-t’il jusqu’où il est sensé aller ou une grève, un grélon ou le cadavre d’un pataquès me laissera seul parmi les seuls usagers, en rase campagne pour le compte…
ta ta tataa… (jingle de quai)
Cette fois rien, tout roula, et le train manager semblait n’en pas revenir lui même.
Puis après avoir débarqué à Marseille St Charles à l’heure du bidasse en perm’, avisé dans un coin M. Laurent Ruquier, monticule parfumé du paysage audiovisuel franchouille (PAF) et sa clique rapprochée, je bondis dans un corail dont un indien d’inde n’aurait pas voulu tant il devint bondé. la SNCF (membre de l’alliance railteam) voulait sans doute nous faire mesurer à quel point qu’est-ce qu’on ferait s’ils étaient pas là.
(parmi les huîtres électriques ou stéreopodes)
Bon, là où j’étais assis, ça allait, des gens jonchaient le couloir du corail mais ça allait.
Mais pour sortir mes aïeux! des gens jusque dans les valoches et des valises débordant des toilettes.
Le train devient sport (ou RER à l’heure de pointe) , et sur l’alliance railteam flotte un parfum de Chine.