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L’acide sans répit s’évapore en grignotant l’univers. Une chips oubliée s’effrite d’une implacable agonie. Le white-spirit zieute l’encre noire en chien de faïence, tandis qu’au bout du couloir, la sonnerie ignore olympiquement l’heure d’hiver…
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0 Réponses to “Pause malheureuse au sans souci.”