.
.
.
.
.
.
Près de trois heures passées
Dans les sièges en vrai skaï frais
De l’honorable Armor Ciné ,
Et le lendemain, plus rien
De souvenir nada
Hormis, à droite de l’écran,
L’ombre d’un beau sapin.
.
.
(il faut tout faire pêter, mais doucement)
.
.
.
.
.
.
Près de trois heures passées
Dans les sièges en vrai skaï frais
De l’honorable Armor Ciné ,
Et le lendemain, plus rien
De souvenir nada
Hormis, à droite de l’écran,
L’ombre d’un beau sapin.
.
.
Ici ce n’est pas un souci :
c’est si souvent ça le cinéma,
si, si, souvent c’est ça,
mais on ne le sait que quand ça a cessé.
(d’où le sapin, empoté mais malin !)
Si le ciné sent le sapin
Et les assises nada
N’est-ce précisèment-là
L’ère d’Ikéa ?
Tu étais en merveilleuse compagnie ?
En effet, et elle n’en a pas moins bien dormi, malgré son ignorance joyeusement crasse de tout ce qui se trame dans les terres du milieu. Bons baisers à vous.
antoineblanquart@gmail.com
Gros travail sur les sourcils.
Par contre le fond est bâclé.
Je convoque de si tôt vos parents.