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J’ai bien cru te revoir mais tu n’étais pas née,
sirène aux tiges légères, aux bleues œillades filtrées
quand ton velouté m’érige au fond du potager
quand tes volutes sommières pulvérisent du lait.
Pas sûr, si j’me reperds que je m’écaillerais,
à ton maigre vestiaire, ado déboutonné
car du frai éphémère d’un trait ne m’suis tiré
pour voir ma vie super finir au cendrier.
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