J’ai bien l’honneur et le plaisir d’en toute modestie vous présenter
(avec quelques jours de retard sur la pimpante actualité de ce joli monde)
le billet douzième du nom :
» Du ruissèlement comme frein à la radicalisation climatique ? «
Et si vous n’avez pas pu cliquer au dessus, vous pouvez encore le faire ici.
Et je me permets de vous rappeler que les choses ne faisant rien au hasard, l’expo « Sans Crier Gare » à laquelle j’ai l’insigne privilège de participer se tient toujours à Charleville Mézières, dans l’ombre chaude du festival mondial de la marionnette (je gage d’ailleurs qu’il est unique au moins dans la Voie Lactée) et ce jusqu’au 24 septembre, à la vitrine des Ardennes. Yauque, nem !
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