Ah cruelle déstinée !
À quoi sert-t’il d’avoir un nez s’il ne peut frayer dans les doux fumets girofflant la térébenthine ?
Et des yeux alors ? si c’est pour pas les plonger dans tant d’indubitables merveilles ?
Et du flouze ? Hein ? À quoi bon en ces austères temps l’amasser sinon pour aller au Marché de Noël de l’atelier de gravure d’Ixelles ?
Hélas, j’y sera pas, un sale coup à se pendre ça…
Mais si toi tu peux y aller, alors abandonnes chats, chiens, piscine, poney et que sais-je et fonds -y !
Dieu (ou Johnny) te le rendra !
.
.
.
0 Réponses to “Cruelle destinée.”