Au wallon nid finir l’été, la nuit tombée, torchères fantômes à jaunes gilets, Le jour venu, longer la côte de l’ascenseur à bateaux. La croissance a ses cahots… Compter là-dessus, boire un verre d’eau savoir pourquoi, faire comme l’oiseau.
Un matin loin de tout, au frais soleil levant, les verdures alentour bruissaient -c’était encore un peu l’été- d’une joie claire courant vers la Meuse parallèlement, j’étais content.
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PS : Quelqu’un connait-elle le(s) petit(s) (sur)nom(s) de ces chaises en plastic qui reposent l’Afrique et autres continents ?
Et voilà qu’un beau jour sortit des presses une somme, une bible, un who’s who du comment faire pour comprendre comment et d’où ça sort, un spectacle de la Compagnie Gare Centrale. Ça s’appelle « tu l’as trouvé où ton spectacle« , c’est aux éditions de l’Œil et j’ai l’honneur d’en avoir commis quelques illustrations.
Bien fier suis et très content pour la fine équipe qui a planché là-dessus d’arrache-pied deux ans durant, ça vaut le détour, assurément et il me tarde de le voir de visu.
Et voilà c’est fait, l’auteur de ces lignes a remballé ses cadres et laissé les murs du Méli Mélo reprendre un peu leurs aises.
Merci à celles et ceux qui m’ont fait l’honneur de passer. Ça va prendre du temps mais j’aime autant vous prévenir, je reviendrai !
Itou grand Merci à Gaëlle et Émilie, fine et vaillante équipe du Méli Mélo et à Domi Doré qui des cimaises tire les ficelles (sauf que c’est des clous*). Ce fut grand honneur et plaisir.
Grande invasion de fierté en mon petit moi de voir suspendus aux cimaises du Centre Culturel de Belém les lavis d’un siron à qui jadis j’ai prêté ma plume… et régal de voir les urgentes merveilles d’une vive compagnie polymorphe qui là-bas fête généreusement ses dix ans.
Antoine b vit dans l'urgence absolue de rentabiliser toute chose, mais le moins possible ou peu s'en faut, et avec son bic six couleurs ou son austère pointe sèche, il longe ce vaste monde que d'aucuns trouvent petit.