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Et surtout dans ce nulle part de béton laminé par en dessous, rester ferme sur ses positions, le mollet alerte, le coude aux aguets, l’horizon dans le blanc des yeux.
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Et cette question, lancinante : « comment prendre son train lorsqu’il sera privatisé » ?
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0 Réponses to “Valence TGV, un bon bout du monde”