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Ailleurs là-bas dans l’ombre du rideau de fer des percos rouillent de ne plus entendre nos grossières philosophades et nous ici, subdivisés, perclus, contraints à prendre poussière, on aura (si l’on veut bien s’épargner le gourmand décompte des cas quotidiens par Jean Jacques Demorand-Bourdin) on aura peut-être en ce printemps sous cloche la chance de se voir repousser du cerveau disponible.
J’imagine d’ici la taille de la cellule de crise qu’il va leur falloir déployer en haut lieu pour nous faire remonter dociles dans le manège, maintenant qu’on sait tout ce qu’il écrase.
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