
.
.
L’apprentie bombinette une fois
Repue d’emplettes,
Remaquillée de frais
Et d’édifiant Voici bercée
Par l’ennui submergée sombra
Dans les bras de Morphée (sncf)
Une chose est sûre
Même en rêve, je n’y étais pas.
.
.
.
(il faut tout faire pêter, mais doucement)
.
.
L’apprentie bombinette une fois
Repue d’emplettes,
Remaquillée de frais
Et d’édifiant Voici bercée
Par l’ennui submergée sombra
Dans les bras de Morphée (sncf)
Une chose est sûre
Même en rêve, je n’y étais pas.
.
.
.
.
.
Ma petite vie comme l’eau
Coule comme l’eau vive
Au menton j’ai mon maillot
Et suis sur le qui vive
Copié collé
Ah si seulement je savais
Oui débarquer
Un peu de ce presse papier…
.
.
. .
.
… Ces vues d’ici sont publiées là de façon quotidienne car le confiné se doit de frayer avec son temps.
.
.
.
Voir du monde
Boire un verre
Manger un morceau
voire une glace mais…
Quel est ce halo ?
.
.
.
.
.
.
.
.
.
Il somnolait vers l’avenir
Peu importait le sens du siège, il allait de l’avant.
C’était antan.
.
.
.
Apparemment dans l’ordre, les jours glissent de et vers l’inconnu, rien de neuf,
tout à bas bruit va, tout va, tout mue… Touchons du bois.
Merci à Claire Farah pour ce beau papier bleu qui a peut-être échappé à l’aquiline plume de feu Christophe mais pas aux poils dur de mes timides pinceaux.
.
.
.
Il était doux cet hiver et doucement s’immisçait sous nos cieux avenants l’improbable qui d’une main invisible et sourde allait mettre un peu de sel à nos transports en commun : L’autre qu’on appelle aussi l’usager (mais qui peut toujours servir ) chemin faisant prenait une épaisseur alors qu’une ombre entre nous se frayait une place qui enflait l’air de rien, de peu de chose, de pu, de points de suspicion…
C’était bien avant qu’Emmanuel Macron ne fonde le Conseil National de la Résilience, bien avant que les hommes vivent d’amour, bien avant que les dauphins ne prennent le pouvoir.
On avait pas fini de rigoler.
.
.
Vitamines et bons amis, voilà qui fortifie.
(la bière est hors champs, le bon air aussi)
Ah si seulement Donald était si bien nanti !
.
.
.
(et l’aventure, c’est l’aventure)
Alors que j’étais sous la douche on* m’a dit ce matin (maudit soit on) que pour occuper le confinement, un concours de « dessin depuis sa fenêtre » était organisé et soudain je me suis senti tout nu…
Serai-je un confiné né, moi qui depuis bientôt des décennies ne ponds qu’à travers les huis, serai-je ici à la fête ? Larron en foire de cette mondiale confinade ?
Las ! Je crains bien qu’oui, en tant que casanier forcené, dès que possible hors du temps (et d’œuvre) et inexorablement, indécrottablement banal.
Mais peu importe la case pourvu qu’on ait l’adresse.
Cela dit fallait-il monsieur le président pousser le vice jusqu’à (prévoir de) libérer la Nation le jour de mon birthday ?
Et étant donné l’ampleur de la chose, j’suis bon pour le jour férié.
*francinter
www.instagram.com/p/B-35UGgp5Se/
Petit essai dominical réalisé en admettant que personne ne sera devant son écran en un si beau jour.
.
Ah ! fendre les flots farouches dans ta coquille de noix latine et d’Oc…
Salut à toi Capitaine,
qui nous as par ces quelques bords
étayé le poumon, blinqué l’assiette et
revitaminé l’âme à la veille de ce qu’on ignorait encore.
Depuis à quai pionce la Gracchus mais toi, comment tu dors ?
La peste soit de cette confinade et du malin virus !
.
.
T