.
.


.


.

.
Face à l’horizon flamboyant neuf, les pieds dans la carte postale,
on s’extasie, se sent petit, on est humain.
Las, épastrouillé par tant de beauté
les bras t’étant tombés tu ne rattrapes pas le masque qui,
emporté par le vent fripon se méle déjà à l’onde et
bientôt vogue au large où tu n’iras jamais.
Allons, avec le temps ça s’diluera.
Un beau jour il pleuvra des masques en poudre
et les martiens riront jaune.
Ça fera un joli vert.
.
.
.
à propos de masques, un petit lien (en anglais)