.
.

.
.
Mes aubes au pieu s’ébrouent
je quitte la tanière,
des excès d’hier
mes aubes en voient le bout.
Sifflotant in petto
mon salut aux zoiseaux
je me cherche et me trouve
derrière les barreaux
du balcon, mon pelage soyeux
livré en remontant
au moustique joyeux
de chez la Montaland.
.
.

.
.
.
.