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Comme recraché par ma mémoire accompagné d’un impeccable jazzband, Jonasz répétait pour Fernande, la mer, les morts et nous. Merci Michel.
Pendant ce temps dans sa clim’ le bon vieux maire de Sète rêvait peut-être qu’il dans le marbre faisait tailler au père Brassens un mausolée parcequ’à cent ans avoir une telle tombe de manant c’est vraiment du monde se moquer.
Allez, dansons le madison. (Vive le son, vive le son…)