° Ami.e si tu cliques sur l’image, en cette frisquette toute fin 21, la magie des hyperliens te mènera jusqu’à une musique qui cette année m’emballa. Comme je ne suis pas FIP, ça pourra te sembler mi-cuit mais c’est d’bon cœur – (Mélodies Baudelairiennes)
Vibre, tremblote, tinte, corne et fraye ton petit bonhomme de chemin de fer, mastodonte, emporte-moi où dois aller, advienne que puisse, j’ai poinçonné. Mais redis-moi, pourquoi faut-il que tu m’enguirlandes sans arrêt moi l’usager et mes tympans de ton bip vraiment véhément ?
Voilà, le gouverneuneument fédéral sous le crépitement des flashes n’écoutant que son courage intérieurement reconnu dégomma d’une poussée décrétale des mois d’efforts, ceinture serrée, de vaches maigres par vent mauvais.
Voilà, Ce qu’en huis clos ces cons par trouille bleue de l’omicron et du devenu majoritaire principe sacré de précaution
Voilà, Ce qu’ont pondu nos dix visionnaires en toute disproportion. Plutôt que d’envisager avec faire la dare-dare win/win adaptation.
Voilà, Plus de spectacle, au trou les saltimbanques. les familles en grande surface par contre pourront toujours gambader et réchauffer le cœur des banques qu’il faut à tout prix ménager.
Mais pas de Noël au Théâtre, car comme le chantait Jean Paul Sartre L’enfer c’est les autres faut donc faire taire l’altérité traquer les brebis égarées les bonnes âmes, elles, ont la télé où l’herbe est plus verte, où l’on peut vibrer de mille molles hystéries en féérique publicité.
Voilà, Du cerveau gras ça nous promet qui ne risque pas lui de filer : platement droit, le cœur au frais. Et pendant c’temps, outre-Quièvrain, tout va très bien…
L’autre matin devant chez Bonal, Noble vitrine du Cantal, haute institution fromagère aux si bien faites étagères Je vis le cône orangément amène d’une fabuleuse boulette d’Avesnes, chez les Arvernes ? Quelle étrangeté ! et pas peu fière, en majesté.
Piqué dans ma curiosité je poussai la porte vitrée et entre deux bourgeoises emplettes demandai à la crémière si cet étrange nom de boulette n’aurait, par je n’sais quel mystère, le même trés humain pédigrée que l’heureuse bêtise de Cambrai.
Je ne suis pas sûr ce soir d’être plus avancé mais c’est beau un sourire, même masqué.
. Heureux l’enfant sage qui lève bien haut le doigt. Ainsi, s’il beaucoup neige où que de l’école le toit faute de moyens sur lui du faux plafond choit les secours le r’trouveront plus aisément fissa et s’il a plus de cinq ans, on te le vaccinera.
° Ami.e si tu cliques sur l’image, en cette frisquette fin 21, la magie des hyperliens te mènera jusqu’à une musique qui cette année m’emballa. Comme je ne suis pas Rock’n Folk, ça pourra te sembler réchauffé mais c’est d’bon cœur – (Bon Iver – the wolves)
à l’ombre de chaque grue au sommet des chantiers les entends-tu ou j’rêve ?
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° Ami.e si tu cliques sur l’image, en cette frisquette fin 21, la magie des hyperliens te mènera jusqu’à une musique qui cette année m’emballa. Comme je ne suis pas Rock’n Folk, ça pourra te sembler réchauffé mais c’est d’bon cœur – ( Meute : the Rooftop session )
– Moi ici, qui l’eut cru ?! m’écriai-je in petto – Pas moi ! répondis-je et la conversation illico chut.
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° Ami.e si tu cliques sur l’image, en cette fraiche fin 21, la magie des hyperliens te mènera jusqu’à une musique qui cette année m’a emballé. Comme je ne suis pas les zinrock, ça pourra te sembler réchauffé mais c’est d’bon cœur (Big Thief au Tiny Desk)
Il apparait que chez Black Rock société fort philanthropique on tire aux quatre coins du globe sur les napperons phréatiques afin que tout robinet s’accorde à leur puissant fonds frénétique.
° Ami.e si tu cliques sur l’image, en cette fraiche fin 21, la magie des hyperliens te mènera jusqu’à une musique qui cette année m’a emballé. Comme je ne suis pas les zinrock, ça pourra te sembler réchauffé mais c’est d’bon cœur – (Under the Reefs Orchestra- une île)
Entre Aurillac et Tulle, tu trouveras Limoges et si je ne m’abuse, rien n’est moins nul… À moins qu’Ouessant ? Peut-être Ostende ? Voire Syracuse… ou bien déroge-je ?
Ses morts pour la France, son taux de chômage, ses maigres retraites sans trop trop d’avantage. Ses joies, peines, purée de châtaignes. Ses gilets jaunes au patère frémissant, Ses confluents, leurs crues, son boucher bien saignant, sa belle épicière ses « minute papillon »… Toutes choses qui toujours échapperont plus à l’énarque qu’à l’omicron.
Antoine b vit dans l'urgence absolue de rentabiliser toute chose, mais le moins possible ou peu s'en faut, et avec son bic six couleurs ou son austère pointe sèche, il longe ce vaste monde que d'aucuns trouvent petit.