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(il faut tout faire pêter, mais doucement)
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J'aimerai saluer les goélands qui sont oiseaux épatants : D'abord car sous leurs airs farouches, Sans rouler nulle mécanique ni mouliner moindre tue-mouche pas une heure, qu'elle claque ou clique sans qu'ensemble ils ne rigolent. L'œil aquilin, l'aile sûre, ils pleurent hilares le bec au vent. Depuis quelques millénaires, ptérodactyles avé l'accent ! Mais surtout, quand par chez eux un petit prend son élan pour en l'air le tout risquer à ses premiers battements, Portant l’élève Livingston tout le clan se fait école, enceignant au plus serré ses premières heures de vol. Et puis, j’en ai jamais vu un qui scrolle. .
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Apparement WordPress qui vers vous propulse mes coloriages à bouts rimés semble avoir des ratées que je mettrai volontiers sur le dos du réchauffement climatique s’il ne l’avait si bon.
Je réitère donc mon envoi et colle le lien in extenso ci-dessous car la parole de ce monsieur est d’or par delà les frontières, avec mes excuses et le bonsoir.
//www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/questions-d-islam/handicap-et-engagement-dans-la-cite-3832440
Alors qu'alentour la République titube en mâchant son chapeau je sais depuis ce dimanche qu’un monde meilleur est possible. Ici bas. Même s'il aura des défauts, même s’il ne se trouve pas sur amazon ni sous l'pas d'un chameau, et ne nous viendra encore moins tout cuit au bec. Il existe, se cultive, s'assemble loin des dealers de mouron, boutiquiers d'hystérie, bêcheurs de tristes passions. Oui il existe, c'est sûr, et pas si loin, ce grand monsieur l'a vu ! Bon… le lien semble rompu, en voilà un autre, avec mes excuses.
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. On sait qu'il aime le béton en bon maire de sa station et voyez comme il anguille entre étrennes et perceptions, froid devant tout ce qui brille voyez de quelle grâce répond notre bon père de famille aux plus viles des basses questions.