
Quelque part en juin
Elle ne se doutait guère
On ne se doutait pas
Que bientôt à l’étroit
Serions sérieusement
Pour notre plus grande joie.
(il faut tout faire pêter, mais doucement)
Quelque part en juin
Elle ne se doutait guère
On ne se doutait pas
Que bientôt à l’étroit
Serions sérieusement
Pour notre plus grande joie.
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Place des mouettes
Masque et tuba
chausses
et sous Sète
tu survoleras
Mars,
ses cratères, ses déserts,
ses monceaux de rover
dont certains c'est certain
ont croisé Dieu le Père
ou si tu y crois moins,
le très haut Georges Brassens
Qui n’a pas, ça me fâche
comme Rimbaud sa terrine
C’est à ça que je sache
qu’un génie s’entérine…
Et tu survoleras
la palourde autrefois vénérée
Restant sourde à ton ombre portée
Quand peinard l'ermite en pince pour ta visite
l’huître serre les fesses d’avoir à te filtrer
Et si l’oursin t’attend alangui de pied ferme
le dernier hippocampe grenouille en face aux thermes.
Thau, voilà
Comme l'étoile,
le Ségéla,
Toute vie peut-être que tu y verras
Est morte il y a longtemps déjà.
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De ses crayons de bois
toujours un peu épais
L’andouille fait ce que doit
Dépendre du réél
pour l’emporter chez soi
Un carré d’aventure
De ses crayons de bois
Miracle d'après guerre dont le départ nous laisse encore plus entre petites gens,
sauve qui peut et merci infiniment
Et bien le bonjour au panthéon.
Au large d’Okinawa fut retrouvé le mois dernier masqué, palmé, le corps sans vie d’un fameux mangaka adepte (comme votre obligé) du tuba. Souvent depuis entre deux brasses je pense à lui.
Paix à son âme et inch Allah !
On ne pèse pas bien lourd et
il en faut du bagage
par les temps qui courent
pour être un peu léger…
Léger qui pas forcement ne flotte
Flotter qui pas forcement n’est gai.
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