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. Au sous-sol du Galion*** t’attend un chalet suisse matiné de Japon. Admettant que tu puisses un peu tourner le col à la télévision. .

(il faut tout faire pêter, mais doucement)
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. Au sous-sol du Galion*** t’attend un chalet suisse matiné de Japon. Admettant que tu puisses un peu tourner le col à la télévision. .
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. . Elle face à l’Océan, fait l’île lui l’onde. Tout autour compte pour du beurre qu’ici bat mon petit cœur. . .
il vente un peu le temps nous pousse sous d’autres cieux amasser mousse.
Pour une sombre histoire d’implant, on m’a prescrit des antibios que docile j’avalai après la notice mais, alors que depuis belle lurette je n’associe plus générique et pinard, v’là-t’y pas qu’après peu, je me sentis déroger et deviendre à moi même un peu trop étranger : Agressif, brutassou, nerveusement épaissi et par ces milligrammes rendu potentiellement si mauvais que j’aurai pu même sans fiches remplacer l’Hanouna.
Mettant à profit une nuit par les nerfs écourtée j’allai sur internette voir si j’y étais et j’y appris que certains antibiotiques peuvent mener quelques (peu mais certains) éléments de la population aux urgences psy pour n’en ressortir qu’en puzzle, nantis d’une nouvelle et riante ordonnance. N’insistons pas me dis-je, cette came n’est pas pour ma pomme et trois jours plus tard, encore traversé de sourdes bouffées rageuses je comprends mieux qu’on puisse interrompre une soirée monopoly à coups de katana, ou voir dans les Soulèvements de la Terre de dangereux fellagas°.
° par là je me demande en bon sibyllin si certains contemporains n’abuseraient pas des antibiotiques voire des alcaloïdes.
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