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Cent kilomètres, t’imagines ?
il y a un siècle c’était la porte à côté,
n’empèche, Mère Nature, rentre chez toi,
l’Homme reprend ses droits.
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(il faut tout faire pêter, mais doucement)
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Cent kilomètres, t’imagines ?
il y a un siècle c’était la porte à côté,
n’empèche, Mère Nature, rentre chez toi,
l’Homme reprend ses droits.
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Gageons que ces semaines feront de jolis colliers de nouilles à l’Histoire de France.
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Ah si seulement les ministres et autres ampoulés décideurs de l’éducation nationale d’ici ou d’ailleurs pouvaient tendre une oreille à ce documentaire, aux forces en présence, à la volonté d’en découdre malgré les embuches avec le determinisme social, à la vie qui n’est pas d’abscisses et d’ordonnées…
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Un beau documentaire de Guillaume Istace dont j’ai eu l’honneur de faire la pochette (et le recto des trois CD).
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Salut chat, repasse quand tu veux.
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Dans un souffle est parti un grand de ce bas monde
et si
Schubert perd une oreille de choix,
Le théâtre belge, un roi
(en exil peut être mais ô combien fervent,
à d’homériques antipodes des encartés plastrons du jour,
éphémères petits fours mais pardon, je m’égare)
et le replet Brabant, un ogre bienveillant.
Le Tigre et la Montagne en sont tout retournés°
Et si Dieu désormais doit faire avec un contradicteur de poids,
C’est Monique qui va être contente.
Ça nous promet de beaux orages.
Merci pour tout, Maurice et encore.
PS : pardonnes ce vilain crobard, j’ai jamais bien su dessiner les aigles.
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° il était sacrément balèze au Taï Chi.
À certaines heures, on voyait presque la mer de cette cuisine à flan de coteaux (du Maelbeek, rien qu’ça)
Si une ancienne imprimerie a forcément du caractère, le travail y avait pour bibi un goût de colonie de vacances, d’antiques jeux de greniers et dans son précieux silence
les bois craquaient, l’acier vibrait, la pierre était fraiche et l’eau mouillait.
Ah les riches heures, les grandes personnes, les vastes mondes,
les perles rares d’un collier de nouilles stratosphérique qui défilèrent en cette ruche inespérée.
L’intemporel aura duré quarante ans. Mazette !
combien de couronnes ?
combien de ministres ?
combien de souris ?
Ces gens là, comment (et à quoi bon) mesurer ce que leur dois
Marianne, Jean, Didier, Guy…
Ô Sein gargantuesque et doux giron de Galafronie
Et pour votre confiance, merci infini.
a.
Ah oui pour sûr c’était bref et le programme tant chargé que j’ai à peine pu me pincer que non, je ne rêvions pas, et hop ! c’était fini…
Mais c’était bien, et super et je tiens ici à surtout remercier la belle et fine équipe de la Montagne Magique sans qui je n’aurai eu ni l’honneur, ni le plaisir, ni les murs, et Ber Caumel qui a fait que dans cette tempête tout était d’équerre et brillant sous les projos. Merci à Aline ma chère sœur qui dans l’ombre m’a coaché comme personne, humainement ressourcé et aiguillé mes errements dans la dernière ligne droite.
Merci aussi à toutes celles et ceux qui sont venu et ont jeté un œil délicat sur mes pattes de mouches, j’en suis et reste aux anges. J’attends encore le mots d’excuse des absentes et sents.
… Virginie non plus hélas n’est pas venue mais vous pouvez voir tout ses collages ici.
Ah et j’oublions, tête de linotte que je fais, la publication chez Lansmann de son tout premier album jeunesse qui par un facétieux hasard est le tout premier de votre humble blogueur (avec Aurélie Namur).
un pied dans le concret que voilà !
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