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(il faut tout faire pêter, mais doucement)
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Dans un souffle est parti un grand de ce bas monde
et si
Schubert perd une oreille de choix,
Le théâtre belge, un roi
(en exil peut être mais ô combien fervent,
à d’homériques antipodes des encartés plastrons du jour,
éphémères petits fours mais pardon, je m’égare)
et le replet Brabant, un ogre bienveillant.
Le Tigre et la Montagne en sont tout retournés°
Et si Dieu désormais doit faire avec un contradicteur de poids,
C’est Monique qui va être contente.
Ça nous promet de beaux orages.
Merci pour tout, Maurice et encore.
PS : pardonnes ce vilain crobard, j’ai jamais bien su dessiner les aigles.
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° il était sacrément balèze au Taï Chi.
À certaines heures, on voyait presque la mer de cette cuisine à flan de coteaux (du Maelbeek, rien qu’ça)
Si une ancienne imprimerie a forcément du caractère, le travail y avait pour bibi un goût de colonie de vacances, d’antiques jeux de greniers et dans son précieux silence
les bois craquaient, l’acier vibrait, la pierre était fraiche et l’eau mouillait.
Ah les riches heures, les grandes personnes, les vastes mondes,
les perles rares d’un collier de nouilles stratosphérique qui défilèrent en cette ruche inespérée.
L’intemporel aura duré quarante ans. Mazette !
combien de couronnes ?
combien de ministres ?
combien de souris ?
Ces gens là, comment (et à quoi bon) mesurer ce que leur dois
Marianne, Jean, Didier, Guy…
Ô Sein gargantuesque et doux giron de Galafronie
Et pour votre confiance, merci infini.
a.
Ah oui pour sûr c’était bref et le programme tant chargé que j’ai à peine pu me pincer que non, je ne rêvions pas, et hop ! c’était fini…
Mais c’était bien, et super et je tiens ici à surtout remercier la belle et fine équipe de la Montagne Magique sans qui je n’aurai eu ni l’honneur, ni le plaisir, ni les murs, et Ber Caumel qui a fait que dans cette tempête tout était d’équerre et brillant sous les projos. Merci à Aline ma chère sœur qui dans l’ombre m’a coaché comme personne, humainement ressourcé et aiguillé mes errements dans la dernière ligne droite.
Merci aussi à toutes celles et ceux qui sont venu et ont jeté un œil délicat sur mes pattes de mouches, j’en suis et reste aux anges. J’attends encore le mots d’excuse des absentes et sents.
… Virginie non plus hélas n’est pas venue mais vous pouvez voir tout ses collages ici.
Ah et j’oublions, tête de linotte que je fais, la publication chez Lansmann de son tout premier album jeunesse qui par un facétieux hasard est le tout premier de votre humble blogueur (avec Aurélie Namur).
un pied dans le concret que voilà !
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Mazette comme le temps passe !
C’est donc fier comme un pape qui aurait sauvé la paix que j’ai fortement l’honneur et gravement la joie d’exposer {dans le cadre d’un focus sur les compagnies Les Nuits Claires/Agnello à l’incommensurable Théâtre de la Montagne Magique de Bruxelles} quelques miennes images dont un récent pas si bestiaire et quelques originaux (non retouchés, les bougres) de l’album Rouges Souliers écrit par Aurélie Namur et illustré par votre serviteur. Il y aura sans doute aussi quelques épreuves d’antan et last but not least les collages de mon amie, ma muse, ma mélopée, la bien nommée Virginie Nati.
Viendra-t’elle au pince fesses, sis le 21 février à 20h30 (après La Femme Vautour) sous les ors du 57 Rue du Marais, 1000 Bruxelles, Belgique ?
Qui vivra verra et de vous voir me fais déjà une joie.
a.
PS : Je pendrai aux cimaises jusqu’au 3 mars au soir.
Ah cruelle déstinée !
À quoi sert-t’il d’avoir un nez s’il ne peut frayer dans les doux fumets girofflant la térébenthine ?
Et des yeux alors ? si c’est pour pas les plonger dans tant d’indubitables merveilles ?
Et du flouze ? Hein ? À quoi bon en ces austères temps l’amasser sinon pour aller au Marché de Noël de l’atelier de gravure d’Ixelles ?
Hélas, j’y sera pas, un sale coup à se pendre ça…
Mais si toi tu peux y aller, alors abandonnes chats, chiens, piscine, poney et que sais-je et fonds -y !
Dieu (ou Johnny) te le rendra !
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J’ai bien l’honneur et le plaisir d’en toute modestie vous présenter
(avec quelques jours de retard sur la pimpante actualité de ce joli monde)
le billet douzième du nom :
» Du ruissèlement comme frein à la radicalisation climatique ? «
Et si vous n’avez pas pu cliquer au dessus, vous pouvez encore le faire ici.
Et je me permets de vous rappeler que les choses ne faisant rien au hasard, l’expo « Sans Crier Gare » à laquelle j’ai l’insigne privilège de participer se tient toujours à Charleville Mézières, dans l’ombre chaude du festival mondial de la marionnette (je gage d’ailleurs qu’il est unique au moins dans la Voie Lactée) et ce jusqu’au 24 septembre, à la vitrine des Ardennes. Yauque, nem !
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Des gaufres font face aux glaces,
de petits chevaux de bois tournicotent et
dans la fontaine, une mouche étonnée barbote une première et dernière fois
Placide, un manège d’autos tourne carrément
autour, des terrasses où l’on boit chaud et le froid
des pavés chinois cavale sous les pneus,
des passages cloutés, quatres rues
douze angles au moins droits
dont un occupé au Nord,
sous ses arcades centenaires quatre fois
par la Vitrine des Ardennes où -sans crier gare-
la compagnie Gare Centrale (d’Agnès Limbos)
expose un siècle d’or du théâtre d’objet.
(1984-2017 quand même si ce n’est qu’un début)
Vous y verrez des choses devenues sérieuses
des trucs ayant pris le chemin inverse
vous y croiserez des acteurs muets,
des décors loquaces,
des costumes hantés,
toutes bribes envoutées de bien des spectacles
et demandez-vous pour voir si c’est pas eux qui te regardent.
Bref Agnès Limbos expose son monde et un peu d’Alice Piemme, Mélanie Rutten, Myriam Hornard, Alain Baczynsky, Daniel Daniel, Guillaume Istace et de votre humble serviteur car vla ti pas qu’j’ai bien l’honneur et le plaisir de faire avec quelques une de mes humbles images partie de cette généreuse expo qui se tient donc à Charlev¡lle Mez¡ères de début juillet à fin septembre, et même si on ne peut plus jurer de rien, il y fera peut être frais quand ailleurs on cuira et lycée de Versailles.
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