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(il faut tout faire pêter, mais doucement)
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On est bien peu de chose
On en nait pourtant plein
Puis poussent les névroses,
Et dru l’poil au destin.
Sous les pépins qui s’amoncellent se jete-t’on avec l’eau du bain ?
Faut-il sous le poids des nouvelles notifiées à tout bout de train
scroller sans cesse et sans répit au puit sans fond de l’iphone vain ?
Vaut-il mieux pas un poste à piles tourné voire même sur Europun ?
et puis surtout, (surtout en ville) se cultiver son for jardin ?
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Tous les jours que l’bon Zeus crée
pousse le nanan des agrumes fait
pour les confiotes, coulis, gelées,
poussent amères les oranges et
les mères-grands du monde entier
sur le bon pain tartinent la paix
dans l’air parfumé de café
en chœur chantent Méditerrannée.
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Créée par Tino en 1955, je vous invite à prendre le temps de mesurer les ravages de la vague pounke dans cette version de 1977 pour la télévision française.
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La République,
Ta chaudière,
Pigeons, poissons
Printemps, guéguerre
Tout est en mars,
Et crotte de bique,
Ça fait vriller.
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Derrière les joncs la plage, son ressac et la mer, au delà l’Afrique, l’Antartique, Kerguelen et l’Angleterre enfin Zeebrugge, Forest, Limoges et puis le vent parmi les joncs.