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Ce petit mot de rien du tout pour vous remercier d’apprendre ici l’existence de mon modeste sitinternette, timidement tapi derrière ce clic.
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(il faut tout faire pêter, mais doucement)
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Ce petit mot de rien du tout pour vous remercier d’apprendre ici l’existence de mon modeste sitinternette, timidement tapi derrière ce clic.
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Rétrospectivant en toute modestie au délicieux Méli mélo de Montpellier, l’auteur de ces lignes se propose de vous faire faire faire chaque jour ou presque un petit détour par le plafond.
Mais laissez moi vous enjoindre à aller là-bas, et puis zut tiens, rien ne vous oblige à y zieuter mes pattes de mouches, goutez donc à ce qu’elles vous ont concocté.
Ravis serez.
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Un petit coin d’Hondschoote, sommet des Moëres, en Flandres,
loin de tout, presqu’au ciel.
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Un voisin vigilant me fit il y a peu remarquer que ces antiques toilettes étaient avantageusement équipées de la trombe Griffon qui permettait un dosage précis de l’eau nécessaire à la tâche. Il semble que l’on ait eu jusqu’a un temps pas si lointain la main sur nos responsabilités.
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Alors qu’il expose dans le cadre enchanteur du Méli mélo, l’auteur de ces lignes se propose de faire chaque jour ou presque une petite piqûre à votre curiosité.
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Ô taôn suspends ton vol
Et mire un peu la guêpe
qui jusqu’au fond du bol
se rit d’avoir été
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Dans le cadre de son expo au Méli mélo, l’auteur de ces lignes se propose de vous faire chaque jour une petite visite par le détail.
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Depuis la place de la Réunion, Kingersheim, circa 2009 ?
Tuer le temps entre deux représentations
être au monde un peu plus présent
juste un peu… la tête fraîche.
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… le numérique se déchargera bien tout seul.
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(Retrospective Blanquart à Montpellier)
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Il y a comme ça des moments dans la vie qui ne souffrent aucune procrastinade, bref, j’ai bien l’honneur et le plaisir d’exposer depuis avant hier et jusque fin octobre au Méli-Mélo, noble établissement du cœur montpellierain.
Aux clous pendent des pavillons, des petits coins, quelques vues d’ailleurs et blagounettes choisies.
Il va sans dire que c’est fier comme bar tabac que je vous enjoint à passer, la mange est bien bonne et frais le café (méfiez-vous des desserts, certains tuent !-)
le Vernissage aura lieu le 12 octobre à midi, s’y verra-t’on ?
Vous m’en verriez ravi !
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On ne l’arrête pas le progrès, et aveuglément admirons ses artisans qui la bride au cou nous préparent le monde idéal car bientôt, le vendredi, au lieu d’aller bêtement manifester contre d’impotents politiques, tu verras la plage venir à toi !
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Et que de gazoil épargné alors, Bruxelles les bains, partout.
Avec peut-être pour faire trempette l’eau du canal en plus salée, on peut pas tout avoir…
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Ah oui pour sûr c’était bref et le programme tant chargé que j’ai à peine pu me pincer que non, je ne rêvions pas, et hop ! c’était fini…
Mais c’était bien, et super et je tiens ici à surtout remercier la belle et fine équipe de la Montagne Magique sans qui je n’aurai eu ni l’honneur, ni le plaisir, ni les murs, et Ber Caumel qui a fait que dans cette tempête tout était d’équerre et brillant sous les projos. Merci à Aline ma chère sœur qui dans l’ombre m’a coaché comme personne, humainement ressourcé et aiguillé mes errements dans la dernière ligne droite.
Merci aussi à toutes celles et ceux qui sont venu et ont jeté un œil délicat sur mes pattes de mouches, j’en suis et reste aux anges. J’attends encore le mots d’excuse des absentes et sents.
… Virginie non plus hélas n’est pas venue mais vous pouvez voir tout ses collages ici.
Ah et j’oublions, tête de linotte que je fais, la publication chez Lansmann de son tout premier album jeunesse qui par un facétieux hasard est le tout premier de votre humble blogueur (avec Aurélie Namur).
un pied dans le concret que voilà !
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Mazette comme le temps passe !
C’est donc fier comme un pape qui aurait sauvé la paix que j’ai fortement l’honneur et gravement la joie d’exposer {dans le cadre d’un focus sur les compagnies Les Nuits Claires/Agnello à l’incommensurable Théâtre de la Montagne Magique de Bruxelles} quelques miennes images dont un récent pas si bestiaire et quelques originaux (non retouchés, les bougres) de l’album Rouges Souliers écrit par Aurélie Namur et illustré par votre serviteur. Il y aura sans doute aussi quelques épreuves d’antan et last but not least les collages de mon amie, ma muse, ma mélopée, la bien nommée Virginie Nati.
Viendra-t’elle au pince fesses, sis le 21 février à 20h30 (après La Femme Vautour) sous les ors du 57 Rue du Marais, 1000 Bruxelles, Belgique ?
Qui vivra verra et de vous voir me fais déjà une joie.
a.
PS : Je pendrai aux cimaises jusqu’au 3 mars au soir.
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En ce fumeux quinze aout
Je me souviens d’un quatorze juillet passé avec toi à la fenêtre de ta cuisine.
En chemise de nuit, tu tordais le cou pour mieux voir le feu d’artifesse
Par la bonne maire de Lille offert.
il y en avait de belles et dans la joie, de surprises en surprises tu rayonnais.
Sacrée nouba !
…
Un peu plus tôt dans la journée
tu avais vu dans le poste un pékin moyen
fleurir d’on ne sait où la tombe du soldat inconnu
en se payant une tranche de Guy Moquet.
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C’était il y a belle lurette, depuis, on a changé de pékin et tu es au cantou.
…
Où en es-tu ?
Cernée d’invisible, d’atterris permanents et de bonnes âmes en blouses roses…
Entre quelles eaux ?
Aux fraises de quel mai ?
Le pries-tu toujours, le Là-Haut,
d’enfin daigner remballer ?
Et moi sur la berge, vaguement transparent
con comme un balais,
J’espère en barbotant ton départ qui n’a que trop duré..
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NB : Cantou, en occitan signifie « au coin du feu » et en pékinois de france » Centre d’Animation Naturel Tiré d’Occupations Utiles » ( c’est bon à savoir )
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Ah ! Villeneuve les Maguelone…
ses flamants roses, son petit train, ses dos d’ânes morts et ses salins,
ses caméras, ses grandes figures, ses platanes, ses trop longs murs et ses machins…
C’est un bout de la France et on y danse,
au bout de l’Hérault et on y go,au bord de la Côte et on y vote…
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Le P’tit Troc est assurément un endroit certain
et ce qu’on y mange, on le digère bien
ce qu’on y boit ravit son bonhomme de chemin
et en terrasse ou dans les tapis, fondez sur l’antillais boudin,
élisez le rouge ou blanc vin, que sais-je ?… allez y bien !
Et puis d’un autre lieu pointu ne serez plus qu’à un vol de cochonnet
qui du mardi au samedi de 10 à 18 plombes
-faut-il le rappeler ?- arbore ma vie mon œuvre à ses cimaises oblongues
et mes petites épreuves de vous voir ravies seraient, et moi fort honoré.
( jusqu’au 29 mars et il y a un changement d’heure qui nous pend tous au nez )
Tonton Francis.
Published 4 mai 2022 Actualité brulante , fenêtres , Gravures Leave a CommentÉtiquettes : chamipatalocho, Comment ça va sans la douleur ?, début de la fin des haricots, Hondschoote, les mœres, mes oncles, mon parrain, Téteghem
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