Archive for the 'interieurs' Category

Mi Octobre déjà…

Rétrospectivant en toute modestie au délicieux Méli mélo de Montpellier, l’auteur de ces lignes se propose de vous faire faire faire chaque jour ou presque un petit détour par le plafond.
Mais laissez moi vous enjoindre à aller là-bas, et puis zut tiens, rien ne vous oblige à y zieuter mes pattes de mouches, goutez donc à ce qu’elles vous ont concocté.

Ravis serez.

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Un petit coin d’Hondschoote, sommet des Moëres, en Flandres,
loin de tout, presqu’au ciel.

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Un voisin vigilant me fit il y a peu remarquer que ces antiques toilettes étaient avantageusement équipées de la trombe Griffon qui permettait un dosage précis de l’eau nécessaire à la tâche. Il semble que l’on ait eu jusqu’a un temps pas si lointain la main sur nos responsabilités.

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Avant après

(Retrospective Blanquart à Montpellier)

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Il y a comme ça des moments dans la vie qui ne souffrent aucune procrastinade, bref, j’ai bien l’honneur et le plaisir d’exposer depuis avant hier et jusque fin octobre au Méli-Mélo, noble établissement du cœur montpellierain. 

Aux clous pendent des pavillons, des petits coins, quelques vues d’ailleurs et blagounettes choisies. 

Il va sans dire que c’est fier comme bar tabac que je vous enjoint à passer, la mange est bien bonne et frais le café (méfiez-vous des desserts, certains tuent !-)

le Vernissage aura lieu le 12 octobre à midi, s’y verra-t’on ?
Vous m’en verriez ravi !

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expo de votre serviteur à Montpellier

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Bibi à la Moma !

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(photo non contractuelle)

 

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Mazette comme le temps passe !

C’est donc fier comme un pape qui aurait sauvé la paix que j’ai fortement l’honneur et gravement la joie d’exposer {dans le cadre d’un focus sur les compagnies Les Nuits Claires/Agnello à l’incommensurable Théâtre de la Montagne Magique de Bruxelles} quelques miennes images dont un récent pas si bestiaire et quelques originaux (non retouchés, les bougres) de l’album Rouges Souliers écrit par Aurélie Namur et illustré par votre serviteur. Il y aura sans doute aussi quelques épreuves d’antan et last but not least les collages de mon amie, ma muse, ma mélopée, la bien nommée Virginie Nati.

Viendra-t’elle au pince fesses, sis le 21 février à 20h30 (après La Femme Vautour) sous les ors du 57 Rue du Marais, 1000 Bruxelles, Belgique ?
Qui vivra verra et de vous voir me fais déjà une joie.

a.

 

PS : Je pendrai aux cimaises jusqu’au 3 mars au soir.

(je ne suis pas) une bête de concours

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.Hondchoote veranda sm.

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Votre modeste blogueur à la pointe sèche a – fait rare – récemment concouru, mais les circonstances firent que le jury quoiqu’international s’est trompé et ne m’a pas élu lauréat du prix humblement convoité.
C’est pas grave, rien ne presse, tout le monde peut être à côté de la plaque et s’estompe déjà la grande décèption de votre humble mirliton qui aurait pu dire en intervioue que tout petit déja il n’aimait pas trop perdre à la course en sac.
Alors j’écoute le dernier album d’Anne Sylvestre en regardant la mer et pense un peu à Pierre Mauroy.

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Hondchoote stairs sm

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Ceci dit faut pas non plus cracher dans la soupe et j’ai vraiment bien l’honneur d’exposer quelques flamandes épreuves parmi les miasmes de David Lynch et 33 autres fines lames de la pointe dans cette fière maison qu’est le Centre International de la Gravure et de l’Image Imprimée.

C’est à la Louvière et ça vaut le détours.

 

 

Occupation

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Chiottes nouvelles sm.

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Tout petit déjà, j’allais là, où personne ne pouvait aller à ma place, et dans ce réduit s’estompait le monde, ses contraintes, ses nuisances et ses méchants, petits ou grands…

et puis, peu à peu il a bien fallu faire avec pour enfin libérer l’endroit.

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Ce modeste préambule pour vous dire qu’à Metz s’ouvre l’exposition « Vue d’en Haut » dans le Pompidou lorrain et ça a l’air tentant, mais ces quetsches de commissaires auraient pu pour pas cher faire plaisir à ma mère (dont c’est bientôt la fête et que j’embrasse ici) et inclure l’une ou l’autre de mes humbles commodités dans leur catalogue qui -hélas !- est certainement à c’t’heure closet.

Je sais désormais ce que traverse l’artiste maudit !

Ascenseur pour un collier de nouilles

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Hondschoote

Hondschoote…

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J’avais douze petits ans quand l’aventurier a déboulé chez Drucker.
Indochine, dans une langue défiant tout entendement défonçait en 3 minutes toutes les portes ouvertes -après avoir toutefois mis des patins- et par leur très binaire brûlot, nos contemporains de Maïa l’abeille dénonçaient je ne sais quoi mais sans doute rien.
Trois décennies plus tard, époussetés de frais, pleins d’usage et raison ils rappliquent et nous livrent un morceau d’une honnête indigence dont le clip fit sortir de leur torpeur les sages du CSA ce qui -ô subtils appâts de la censure- semble fournir un succès mécanique à ces enfonceurs de bouts rimés qui vont, cette fois c’est sûr, pouvoir changer le monde parce qu’ils ont vraiment tout bien compris.

Ceci dit, ils ont trop raison, c’est pas bien le harcèlement.

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le clip est visible ici mais franchement, vaut mieux jardiner, et suggérer à l’€urope de se calmer les lobbies (pétition en Anglais-sorry- à propos d’un projet d’interdiction d’utiliser des graines non recensées par l’industrie, si on laisse faire, ce n’est sans doute plus du minerai de cheval qu’on retrouvera dans notre gaucho!)

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Ne faire que passer…

 

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Cuisine rue de la cour

Hondschoote, vers le frigo…

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…On ne fait que ça, plus ou moins, mais ça se complique parfois

comme ce soir où, de retour au bercail, j’ai erroné par trois fois mon code de vélo Vinci (ou Decaux mais qu’importe)

et donc vu ma carte bloquée et ma soirée noyée… j’avais mis ma plus belle écharpe pour aller revoir l’étrange et pénétrant Institut Benjamenta à Océan Nord… hélas!

…Mais j’y pense, et ça ne manque pas de sel, ce foutu code c’est sans doute ma date d’happy birthday!

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…On croit rêver…

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Erratum

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Longtemps j’ai cru à une grasse blague de corps de garde fort en thème, mais non,  j’avais mal saisi César, qui n’a en rien été indisposé après être venu voir (et conquérir) le Pont-pas encore-Euxin.

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College Waterkloset

Sans titre
(Ixelloises chiottes ou Caïn n’est plus ce qu’il était )

Je vais finir par croire que tout ce latin de cuisine du post précédent [sic] n’était pour moi qu’un prétexte à casser du sucre sur l’impalpable dos de Vinci.

C’est moche d’être retors à ce point.

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Ne me tweete pas…

Ce soir, Mercredi 13, de 18  à 21 heures,Jeudi, Vendredi et même Samedi après midi, au 128 de la rue Sans Souci, 1050 Ixelles, les fiers occupants de l’Académie des Beaux Arts présentent le fruit de leur année, et votre sombre serviteur à bien l’honneur itou mais vous y pourrez voir, sous les auspices de la vénérable Anne Kellens, les épreuves de mes joyeux camarades dont la Anne Peeters, la truculente sirène et Thierry Mortiaux le moine facétieux.

Soyez donc les bienvenus

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J’ai bien l’honneur (de gloire) ce vendredi ci…

Ce vendredi donc, j’aurai la joie non dissimulée de faire étalage de deux series d’épreuves qui me sont chères,

pavillons et chiottes européene, dans un noble établissement ixellois. Mais laissons la parole au papillon:

Rue K – Eve, Fré, Fred, Ronan et Sophie,
ont le plaisir de vous convier à leur table d’hôtes
Le 25 mai 2012
Rue Keyenveld, 125 – 1050 Bruxelles


19h30

Apéro

20h

Gravure

– Antoine Blanquart –

Né à Lille à la mort de de Gaulle, élevé au grain à l’ombre des grands arbres à parachutistes.
AB revient de loin et discrètement ne fait que passer, au grès des tournées (il est saltimbanque).

Chemin faisant il croise de charmants pavillons, épatantes brèches dans la banlieue
où se répand la France d’aujourd’hui et les grave tout de go.

Parfois il s’absente aux toilettes.

21h
Repas

Prix:
16 euros (boissons non comprises)
9 euros étudiants

Nous ne pouvons accueillir que 30 personnes,
veuillez donc réserver rapidement à l’adresse ateliers.rue.k@gmail.com.
Pour nous éviter de multiples courriers, seules les 30 premières réservations
seront confirmées par mail.

La Rue K
La Rue K est avant tout un lieu de rencontre. Tous les mois, un artiste vient présenter son travail. Cette année encore, la programmation est éclectique… Nous aurons le plaisir de rencontrer entre autre une chanteuse lyrique et un claveciniste, une réalisatrice de documentaire radio et une autre réalisatrice de films-documentaires. Une sculpteur, une photographe, un illustrateur, une peintre… Tous ces artistes viendront nous montrer
leurs oeuvres, parler de leur travail, de leur regard sur l’art, …

L’idée est que les artistes et le public se rencontrent dans un lieu agréable, intime où le bon vin et les bons petits plats concoctés par nos soins ou par des cuisiniers invités circulent de table en table. On veut que ces soirées restent pour le public un moment ludique,
d’échange, de culture.

Une dernière chose. Nous ne sommes ni un centre culturel ni une salle de spectacle. Nous ne voulons pas faire de bénéfices. Ni perdre nos culottes! On essaie d’adapter les prix de chaque soirée en fonction des dépenses. Nous désirons que le prix soit le plus démocratique possible. C’est pour cela qu’un prix spécial pour les étudiants sera dorénavant proposé
pour chaque soirée.

Le Rue K c’est aussi un lieu de travail. L’équipe de la Rue K y a ses ateliers. Des artistes peuvent louer pour des sommes modiques l’endroit. Pour une répétition. Une lecture. Un atelier. Un casting. Le lieu est, semble-t-il, propice à la création.

Voilà. Bienvenus aux ateliers de la Rue K.

colleegese Waterkloset (long time no see)

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Antoine b vit dans l'urgence absolue de rentabiliser toute chose, mais le moins possible ou peu s'en faut, et avec son bic six couleurs ou son austère pointe sèche, il longe ce vaste monde que d'aucuns trouvent petit.

le petit vaste monde…

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