Posts Tagged 'à Paris comme ailleurs.'

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Amis des aurores boréales et des états seconds, 
le 16 novembre à 16h 
à l’échangeur de Bagnolet  
et  
à guichet fermé 
sera donnée cette petite perle de spectacle 
auquel suis pas peu fier d'avoir jadis participé 
(en tricotant la bande son) 
ça dure 1 heure vingt environ et c'est hors programmation. 

Neige silencieuse, neige secrète

D’après Conrad Aïken la Barque éditeur

(le titre peut sembler tarte mais le texte tue)

pour vous faire inviter : cie La Congère  

Allez enfants…

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Verdoyant Compost
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Allons enfants de l'apathie
le jour de foire est rarrivé
Contre un mur de basse ironie
aux standards du Grand Interêt (bis)

Attendez-vous dans le champagne
à voir les funestes magnats
Qui baignent jusque dans nos draps
Ubérisent nos vies et nos campagnes

Aux palmes citoyens
Fuyez les pièges à cons
Coupons, coupons,
L’une pour voir si
son autre tombe ou non.


Équinoxe et caetera

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Bonjour printemps, quelles nouvelles ?

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Riches heures au Marais

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Des chambres de bonne ? un galetas ? on ne sait pas, on sent bien que qui là vécut n’eut pas besoin de tout lire Zola mais les temps changent et place des Vosges Anne Hidalgo élève du rat et aux étages du Marais cage on trouve l’oseille et le bon gout et l’odorat.

Au pompe-trac

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Rue du marais°

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À peine recrachée par le train, je suis une ombre à bonnet rouge
parce qu’il a neigé ce matin ou qu’hier soir en a trop bu.

La nuit encore tient le pavé, je vais attendre pour arriver,
ce café noir a gout de gale ou bien c’est moi qui n’en ai plus.

Sous les arcades sombre une famille, émergeant entre deux cartons,
sans gène un orgelet pétille là où la finance fait ses ronds.

Rue du marais à 1000 Bruxelles prospère une civilisation
chaque matin plus pestilentielle ou bien c’est quoi qui coince au fond ?


°On dirait que cette année rien n’a à voir avec la choucroute alors on rit on s’amuse avec Dominique A et son Twenty-two bar !

Parallèlons

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Vibre, tremblote, tinte, corne et fraye
ton petit bonhomme de chemin de fer,
mastodonte, emporte-moi où dois aller,
advienne que puisse, j’ai poinçonné.
Mais redis-moi, pourquoi faut-il que tu m’enguirlandes sans arrêt
moi l’usager et mes tympans de ton bip vraiment véhément ?

À bord (seul n’être)

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à bord seul n’être,
planqué masqué discret
puis disparaitre,
n’avoir été

So long insta

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C’est bon Montagne de Sucre
J’arrête de scroller par le fond dans tes limbes à selfies,
la #nette impression de n’y peser pas lourd me syphone et ça carie.
Merci du voyage.

Quant à méta…

En fait, pour mes éstimés instafollowers, suite à un bug je n’ai plus eu accès à mon compte et voilà tout, n’en prennez pas ombrage si j’ai fini par me détacher.

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¡ langue vie au Rey !

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Il y a un an déjà nous quittait dit-on l’Alain Rey,
bah non, j’ai vérifié, il est toujours sur ma cheminée
et bien en chair avec ses petits roberts, n’en déplaise aux pros du deuil.
Mille grâces encore à lui d’être passé par ici nous montrer, souvent à l’œil, d’où sort la langue, ça aide à la tirer.

Et merci chère Marraine (si tu me lis) pour l’impérissable présent.

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C’est l’automne,

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Sans bruit meurent les feuilles qui
Sans bruit croisent les champis.
Tandis que se grattent les poux,
dans les champs gloussent les perdrix.
Est-ce tant mieux ou est-ce tant pis ?
et si c’est tant pis on s’en fout
C’est l’automne et c’est la vie
Et si c’est la vie, c’est à nous.

(Poil au flou)


Antoine b vit dans l'urgence absolue de rentabiliser toute chose, mais le moins possible ou peu s'en faut, et avec son bic six couleurs ou son austère pointe sèche, il longe ce vaste monde que d'aucuns trouvent petit.

le petit vaste monde…

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