.
.
.
.
V’la ti pas qu’en ce jour de pluie j’ai rejoint -à reculons- le monde parallèle :
d’un clic incertain y trempe un orteil
et hop!
j’ai un ami!
et paf!
les amis de cet ami -dont un avec qui j’ai mangé hier midi, et une autre qui taquine le squale aux franches antipodes- éclosent dans la colonne de droite sous ma mirette ébahie!
( je garde l’autre pour le pain sur la planche )
Bref!
le petit vaste monde rejoint le gros réseau social,
j’en suis le premier surpris,
et advienne que pourra.
.
.
.