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Entre nuit et jour ici ou là,
Sans déroger, après l’yoga
Le petit aquarelliste matinal sur la terrasse penche
Vers le papier un nez encore libre, un pinceau gourd
Et entre les lampées de café frais
Pigmente un peu sa vie.
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(il faut tout faire pêter, mais doucement)
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Entre nuit et jour ici ou là,
Sans déroger, après l’yoga
Le petit aquarelliste matinal sur la terrasse penche
Vers le papier un nez encore libre, un pinceau gourd
Et entre les lampées de café frais
Pigmente un peu sa vie.
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Apparemment dans l’ordre, les jours glissent de et vers l’inconnu, rien de neuf,
tout à bas bruit va, tout va, tout mue… Touchons du bois.
Merci à Claire Farah pour ce beau papier bleu qui a peut-être échappé à l’aquiline plume de feu Christophe mais pas aux poils dur de mes timides pinceaux.
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