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J’apprends qu’on dit du goéland qu’il pleure ou raille et je lui entrevois soudain un faux air de crocodile ou d’autoportrait.
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(il faut tout faire pêter, mais doucement)
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J’apprends qu’on dit du goéland qu’il pleure ou raille et je lui entrevois soudain un faux air de crocodile ou d’autoportrait.
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D’une fenêtre l’autre, loin du chaos,
des olympiades. Imperturbable
tu ponctues de tes assauts têtus le calme plat, le désert mat où nos reflets repassent et à mesure se ressemblent.
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On pourrait me voir
en pyjama derrière les carreaux
seul au plat bord de la nuit,
erratique silhouette s’emmélant les pinceaux,
ah ! l’ivresse de se noyer dans un verre d’eau.
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Où ? mais où suis-j’encore passé pour n’avoir aucune
mais alors aucune idée de ce qui fit qu’à la fin suis ici
et pas au zoo ?
par exzemple
Non mais en vrai
ça sort d’où que c’est nous
les plus forts les plus beaux les plus en haut ?
et pourquoi pas la poule ?
le coq ?
le rhododendron ?
je vois trop pas.
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Longtemps j’ai cru à une grasse blague de corps de garde fort en thème, mais non, j’avais mal saisi César, qui n’a en rien été indisposé après être venu voir (et conquérir) le Pont-pas encore-Euxin.
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Je vais finir par croire que tout ce latin de cuisine du post précédent [sic] n’était pour moi qu’un prétexte à casser du sucre sur l’impalpable dos de Vinci.
C’est moche d’être retors à ce point.
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V’la ti pas qu’en ce jour de pluie j’ai rejoint -à reculons- le monde parallèle :
d’un clic incertain y trempe un orteil
et hop!
j’ai un ami!
et paf!
les amis de cet ami -dont un avec qui j’ai mangé hier midi, et une autre qui taquine le squale aux franches antipodes- éclosent dans la colonne de droite sous ma mirette ébahie!
( je garde l’autre pour le pain sur la planche )
Bref!
le petit vaste monde rejoint le gros réseau social,
j’en suis le premier surpris,
et advienne que pourra.
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N’en déplaise à l’Hérault, ses vagues, ses châteaux,
Ne s’offusque l’Aquitaine aux enivrants coteaux
N’en disjoncte l’Ardenne, à rien d’autre parable
N’en t’esbignes ô Picardie, ô Flandre, ô Bretagne,
Et non plus ne partez pas, l’ Alsace et la Lorraine
Non. Mais nenni point et trois fois non, rien à la cheville n’atteint
les fraiches, ronde et jolies,
heures coulées en Limouzi.
Voilà ce que je me dis,
là-bas quand j’y suis.
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PS : Lot, tu tiens trop du paradis terrestre et je suis trop vilain.