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10 mai 16 mai 17 mai
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Je suis mon propre pape et je me suis compris
Cette vie en conserve c’est urbi et orbi
Faisons donc une ronde, mon ombre avec bibi
Et allons voir du monde, sans croire que c’est fini.
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(il faut tout faire pêter, mais doucement)
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Je suis mon propre pape et je me suis compris
Cette vie en conserve c’est urbi et orbi
Faisons donc une ronde, mon ombre avec bibi
Et allons voir du monde, sans croire que c’est fini.
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Gageons que ces semaines feront de jolis colliers de nouilles à l’Histoire de France.
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Ma petite vie comme l’eau
Coule comme l’eau vive
Au menton j’ai mon maillot
Et suis sur le qui vive
Copié collé
Ah si seulement je savais
Oui débarquer
Un peu de ce presse papier…
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… Ces vues d’ici sont publiées là de façon quotidienne car le confiné se doit de frayer avec son temps.
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(et l’aventure, c’est l’aventure)
Alors que j’étais sous la douche on* m’a dit ce matin (maudit soit on) que pour occuper le confinement, un concours de « dessin depuis sa fenêtre » était organisé et soudain je me suis senti tout nu…
Serai-je un confiné né, moi qui depuis bientôt des décennies ne ponds qu’à travers les huis, serai-je ici à la fête ? Larron en foire de cette mondiale confinade ?
Las ! Je crains bien qu’oui, en tant que casanier forcené, dès que possible hors du temps (et d’œuvre) et inexorablement, indécrottablement banal.
Mais peu importe la case pourvu qu’on ait l’adresse.
Cela dit fallait-il monsieur le président pousser le vice jusqu’à (prévoir de) libérer la Nation le jour de mon birthday ?
Et étant donné l’ampleur de la chose, j’suis bon pour le jour férié.
*francinter