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Depuis que François Villon a montré le chemin par d’autres et Jesus (prononcer « Djizeuss ») avant lui défriché, ils n’arrêtent plus de s’y bolider en une longue et déchirante ribambelle de glorieux défunts. Après Ray Manzareck et Georges Moustaki ce regrettable printemps voilà le grand Georges Duke, roi de la trille enchanteresse et des nappes bien troussées devant l’Eternel et le très saint père Zappa dans l’au delà des spotlights et des poêtes, sous les arches veloutées et fleuries des muses reconnaissantes.
RiP cher mother et merci pour la joie.