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J'aimerai saluer les goélands qui sont oiseaux épatants : D'abord car sous leurs airs farouches, Sans rouler nulle mécanique ni mouliner moindre tue-mouche pas une heure, qu'elle claque ou clique sans qu'ensemble ils ne rigolent. L'œil aquilin, l'aile sûre, ils pleurent hilares le bec au vent. Depuis quelques millénaires, ptérodactyles avé l'accent ! Mais surtout, quand par chez eux un petit prend son élan pour en l'air le tout risquer à ses premiers battements, Portant l’élève Livingston tout le clan se fait école, enceignant au plus serré ses premières heures de vol. Et puis, j’en ai jamais vu un qui scrolle. .
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