Posts Tagged 'Gravure'

Ailleurs (c’est encore moi)

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Mille ans déjà…

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Tutti futti l’campi.

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Hélas, les Caves du Petit Thouars ont mis la clé sous la porte. Adieu rade exemplaire où il faisait bon s’accouder dans ce Marais qui subséquemment s’enfonce un peu plus dans les remugles hors de prix.
Mais où donc tout ça nous mènera-t’y ?
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Chère vieille europe…

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Au Méli mélo, perle parmis les cafés restos montpellierains, l’auteur de ces lignes expose Jusque fin octobre et se propose ici de vous en donner chaque jour qu’il peut un petit aperçu.
Mais il est chaudement recommandé d’aller voir sur place, elles cuisinent bien mieux que je ne bafouille et on peut ne faire qu’y passer (mais c’est une drôle d’idée)

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l’inflexible correcteur de mon ordi me signale qu’il manquerait une majuscule à ce vieux continent qui a l’moral dans les chaussettes et les chausettes faites en Chine…

J’en suis le premier désolé et ne félicite guère les descendants de Charlemagne pour leur exponentiel manque d’imagination. Mais après tout, les araignées auront peut-être enfin un jour leur pape.

Cette gravure fut le premier état de l’affiche de Dem Dikk (aller retour), précieux documentaire sur Dakar de Karine Birgé.

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Cruelle destinée.

 

Ah cruelle déstinée !
À quoi sert-t’il d’avoir un nez s’il ne peut frayer dans les doux fumets girofflant la térébenthine ?
Et des yeux alors ? si c’est pour pas les plonger dans tant d’indubitables merveilles ?
Et du flouze ? Hein ? À quoi bon en ces austères temps l’amasser sinon pour aller au Marché de Noël de l’atelier de gravure d’Ixelles ?
Hélas, j’y sera pas, un sale coup à se pendre ça…
Mais si toi tu peux y aller, alors abandonnes chats, chiens, piscine, poney et que sais-je et fonds -y !
Dieu (ou Johnny) te le rendra !

 

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Mais où ai-je la tête ! ?

C’est pas parceque j’y suis plus que je ne dois pas ici par la présente vous enjoindre à aller voir ce que sous l’aile de l’éminente Anne Kellens mes petits camarades de gravure ont pondu !

C’est rue Sans Souci, hier (où avais-je la tête ?!) ce soir, Vendredi de 18 à 21 h et Samedi matin jusqu’à l’heure du sacrosaint match que d’aucuns gagneront pendant que d’autres l’auront perdu. Et ça va faire rouler plein de gens de manière fort amusante…

 

 

Atelier sans souci un peu flottant

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je dis ça en espérant que la FIFA touche un peu d’argent sur les amendes perçues, ce qui ne serait que justice.

Mince alors ! c’est les vacances…

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l'homme allumette

l’homme allumette

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J’étais sur une plage, seul à barboter après une journée de labeur comme seul le Midi sait en faire quand le TSF* que j’ai toujours en poche sonna.

Depuis, un tapis rouge semble sous chacun de mes pas dérouler ses ourlets, les réverbères crépitent comme flashes sur la Croisette, le tout sous une pluie de pétales de tilleul car c’est l’essence qui pousse ici, chez moi, à Ixelles.

En effet, ponctuant finalement une grosse décennie de présence en la très honorable École des Arts d’Ixelles, le collège des Bourgmestre et échevins m’a remis son prix. C’est pas rien les copains, ce serait le Prix de Rome si Rome était ici.
Alors j’en profite pour remercier fièrement Anne Kellens, la belle et bonne fée qui sur l’atelier chaque soir se penche sans compter, et saluer Philippe, Anne, Thierry, France, Martine, Maud, Joke, Bruno, Gloria, Muriel… et tous ceux qui ont du supporter mes blagues et mon bazar, pour leur allant qui fait en cette riche atmosphère si bonne émulation, sans oublier la disparue Silvia Kristel ( que je n’ai jamais croisé maman, je t’assure ! ) et l’infiniment regrettée Réjeanne Hallet. Salut aussi à Georges qui n’était jamais très loin, à Alain, el director et à sa palette de secrétaires et enfin à Bruno, le concierge qui souvent a du nous pousser dehors pour pouvoir cette noble boutique fermer.

S’impose un horizon : cet été, je me muscle, me bronze et me rase, pour reviendre incognito m’inscrire en première année.

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.* Téléphone Sans Fil, si je ne m’abuse…

Ma chambre est bien rangée

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Les temps changent

l’heure tourne

passent les champions

trilarirette là !

Les valeurs s’usent

le blé s’enfourne

y a pu d’saison

yodeli madelon !

Et seule la poussière,

seule la poussière,

seule la poussière

est pour de bon

oh yeah!

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O mon bureau

Mon bureau mon ouvrage

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Ce lapin…

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COUV ce lapin qui s'impose

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Ce lapin qui s’impose

là, au bout du monde

fait passer les nuages

danser les petites vagues

et bien rire les mouettes.

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Plus jamais ça! (le grand désœuvrement)

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hélas! ne l’ai-je pas assez dit!?

Jour après jour, s’étire l’amer constat :

)ni de l’acide, ni de la boite à grain, ni du japon (simili), rien de rien ne sortira.

Les verrous sont tirés sur cette affreuse semaine embastillée dehors…

Hier, jour férié j’errais donc en peine,

Les pavés made in china fuyaient mon regard…

qui tombait de Charybde en Scylla devant toutes ces boutiques ouvertes au chaland

quand au loin, en mon âme flétrie, noire et silencieuse

penchait la vaine silhouette de l’académie.

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PS : C’est pas un peu fini ces bout rimés?

Pause malheureuse au sans souci.

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L’acide sans répit s’évapore en grignotant l’univers. Une chips oubliée s’effrite d’une implacable agonie. Le white-spirit zieute l’encre noire en chien de faïence, tandis qu’au bout du couloir, la sonnerie ignore olympiquement l’heure d’hiver…

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good news, raw blues, et caetera

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Une bonne nouvelle pouvant (comme chez RailteamTM) en cacher une autre, Ratel, fin lettré du Haut Blues, occupe enfin un site .
Ça va donc être difficile de ne pas aller aux concerts qu’il recommande. (et je vous suggère de vous abonner à sa vigoureuse newsletter.
À Bruxelles, Philippe de Kemmeter participe à une expo édifiante (avec ses jolis dessins) qui fait que désormais, quand je serai grand, je ferai petit ingénieur.

Enfin, vous pourrez en suivant ce dernier lien du dimanche admirer les belles images de Myriam Delhaes , c’est sympa l’internet car c’est ma voisine d’en face!


Antoine b vit dans l'urgence absolue de rentabiliser toute chose, mais le moins possible ou peu s'en faut, et avec son bic six couleurs ou son austère pointe sèche, il longe ce vaste monde que d'aucuns trouvent petit.

le petit vaste monde…

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