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Au havre de paix l’apatride masqué reconnaissant
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(il faut tout faire pêter, mais doucement)
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Au havre de paix l’apatride masqué reconnaissant
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Dans les rames du métro, au bout des couloirs fourmiliers, je planque en strapontin et j’y pense :
Peut être ne mire-t’il et ne croque-t’il tout de go que les filles par peur de se faire dessouder
par des zigues énervés, des mâles dominants minés, des affreux, ses semblables…
à moins qu’ son œil œdipien n’s’aggripe à son stylo parce qu’il n’a -toujours-pas-encore- d’smartophone ?
…
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