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Ôh! joie pleine de l’abandon matinal, en pâture à la fraiche comme à l’aube du monde, je suis Adam, le jour se lève, et si j’ai bien la côte qui gratte, l’avenir, soudain, l’espace d’un instant m’appartient, et réciproquement.
Oh joie discrète tandis que dans la vallée on ne sait qui de la poule ou de l’œuf s’est réveillé le premier.
…cuicui…
Le lendemain il avait plu et c’était encore trop beau.
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. ah ! et une bonne année à tous les meilleurs vœux !
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(merci à la Companhia Caotica, à O Espaço do Tempo de Montemor o Novo et à Mère Nature qui est aussi portugaise)