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Au havre de paix l’apatride masqué reconnaissant
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(il faut tout faire pêter, mais doucement)
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Au havre de paix l’apatride masqué reconnaissant
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Un matin loin de tout, au frais soleil levant,
les verdures alentour bruissaient
-c’était encore un peu l’été-
d’une joie claire courant vers la Meuse
parallèlement, j’étais content.
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PS : Quelqu’un connait-elle le(s) petit(s) (sur)nom(s) de ces chaises en plastic qui reposent l’Afrique et autres continents ?