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Il y a un an déjà nous quittait dit-on l’Alain Rey,
bah non, j’ai vérifié, il est toujours sur ma cheminée
et bien en chair avec ses petits roberts, n’en déplaise aux pros du deuil.
Mille grâces encore à lui d’être passé par ici nous montrer, souvent à l’œil, d’où sort la langue, ça aide à la tirer.
Et merci chère Marraine (si tu me lis) pour l’impérissable présent.
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