Vibre, tremblote, tinte, corne et fraye ton petit bonhomme de chemin de fer, mastodonte, emporte-moi où dois aller, advienne que puisse, j’ai poinçonné. Mais redis-moi, pourquoi faut-il que tu m’enguirlandes sans arrêt moi l’usager et mes tympans de ton bip vraiment véhément ?
Ô villes nouvelles sans l’ombre d’un café Quartiers sans cœur où chaque hun chéssoie Faute de comptoir où refaire le monde, Tenir salon et faire encore un peu corps… Ô vie nouvelle par l’écran entubée.
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Avez vous eu vent de ces établissements administrativement fermés pour avoir entrouvert à l’habitué leur rideau de fer à l’époque blindée du Très Sain Confinement ? (j’dis ça j’dis rien) Bien sûr que c’est pas bien beau de jouer avec le microbe mais est-ce pire que de saper le moral des troupes ? .
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La vie est brève, c’est avéré et sent peut être un peu la sueur après une rude journée. Chez les gestionnaires in-vitro qui nous la jouent en marche où l’on en pince plutôt pour l’édulcoré transhumanisme le zinc est à proscrire aussi fissa que doit jaillir la 5G.
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allez musique
Antoine b vit dans l'urgence absolue de rentabiliser toute chose, mais le moins possible ou peu s'en faut, et avec son bic six couleurs ou son austère pointe sèche, il longe ce vaste monde que d'aucuns trouvent petit.