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Ces carrosses de Caluire fondent pétaradant
sur le bled à traboules où s’attend la ficelle.
Ils sont preux ces bolides aux pots dardés riants
aux arides esgourdes des guignols bienséants.
Survolant les bouchons de leurs chromes qui blinquent
ils remontent ondulant à l’ombre des grands crus
et parfument la vallée de pets ascensionnels
tandis qu’en bas Rhône Poulenc.
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