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Tutti futti l’campi de Charybde en Scylla. Et si punks are not dead moi je suis Claude François.
(il faut tout faire pêter, mais doucement)
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Tutti futti l’campi de Charybde en Scylla. Et si punks are not dead moi je suis Claude François.
En l’espace d’un feu rouge de ma vieille ville natale, sur un parvis récent et un peu perdu où l’on imagine bien le vent d’hiver s’amuser en grinçant à pousser les mégots désolés des bureaux alentours.
Le temps d’un feu rouge, sur cette perspective à la moderne ferveur de marbre, j’entrevis ce mot d’acier*, fauvement oxidé.
Et dont on peut prévoir qu’intégralement, il rouillera.
De mon feu rouge passé au vert, je n’ai pu taper dessus pour mesurer la densité de la chose.
La question est de savoir si la ville qui a payé pour cette œuvre facétieuse est au courant ou non de cette probable issue car il n’y a pas l’ombre d’une rembarde et, s’il s’en trouvait en ce quartier interlope, d’innocents bambins pourraient bien un jour à s’y frotter choper, en plus, le tétanos.
*d’environ deux mètres sur deux et dont j’ignore l’auteur