il vente un peu le temps nous pousse sous d’autres cieux amasser mousse.
Posts Tagged 'un cœur simple'
Dimanche joyeux dimanche
Published 16 avril 2023 Carnet de poche Leave a CommentÉtiquettes : autoportrait, à perte de vue l horizon, demain il fera beau, la vie est belle mais faut pas pousser, mère nature, Sète ici Sète…, transports en commun, un cœur simple
Antibioman (tranche de vie)
Published 11 avril 2023 Actualité brulante 2 CommentsÉtiquettes : antibiomanie, autobiographie par les plantes, Bruxelles, capilotractions, civilisation de pointe, Forest forever, le monde est sain, Le Sacre du Printemps, Lille forever, un cœur simple, vite ma dose
Pour une sombre histoire d’implant, on m’a prescrit des antibios que docile j’avalai après la notice mais, alors que depuis belle lurette je n’associe plus générique et pinard, v’là-t’y pas qu’après peu, je me sentis déroger et deviendre à moi même un peu trop étranger : Agressif, brutassou, nerveusement épaissi et par ces milligrammes rendu potentiellement si mauvais que j’aurai pu même sans fiches remplacer l’Hanouna.
Mettant à profit une nuit par les nerfs écourtée j’allai sur internette voir si j’y étais et j’y appris que certains antibiotiques peuvent mener quelques (peu mais certains) éléments de la population aux urgences psy pour n’en ressortir qu’en puzzle, nantis d’une nouvelle et riante ordonnance. N’insistons pas me dis-je, cette came n’est pas pour ma pomme et trois jours plus tard, encore traversé de sourdes bouffées rageuses je comprends mieux qu’on puisse interrompre une soirée monopoly à coups de katana, ou voir dans les Soulèvements de la Terre de dangereux fellagas°.
° par là je me demande en bon sibyllin si certains contemporains n’abuseraient pas des antibiotiques voire des alcaloïdes.
Pouët en vrac
Published 23 novembre 2022 Carnet de poche Leave a CommentÉtiquettes : autobiographie par les plantes, autoportrait, Bourgogne forever, demain il fera beau, poéme sot, Tournus et tout bronzé, un cœur simple

. Dans son carnet va très mollo N’y risque qu'assez peu sa peau Soupese la rime à demi mot Pour faire bon poids, bien aller au Galetas douillet de ce vieux blog Où s’agrenouillent en bigoudis Par le bon ton, ses mots polis, Frisant d'un poil le monologue Si seulement un peu rigolo. Mais garde, comme il est gentil, Le purulent rien que pour lui.
Life on Mars (je suis ton pair)
Published 13 novembre 2022 Aquarelismes , cartes postales au crayon 2 CommentsÉtiquettes : Ardennes forever, autobiographie en branches, aux Mazures, à perte de vue l horizon, comme à Ostende, darth vador a la playa, demain il fera beau, la faux, longueurs et permanence, ma cabane au Canada, mère nature, petits matins, poéme sot, s'accomplir au forfait, un cœur simple, vacances, vacances j'oublie tout, Vieilles forges
Dans l’eau brumeuse orangée je trempais
le souk épais des pensées en bataille
sous la surface de mon tuba touillais
en longueurs l’lac jusque-alors assoupi,
s'en échappait un soufflet sur le calme.
De mes tribules tu décrochais la palme.
À l’onde étale et douce sans fond à priori
Je confiais mes élans, ma panse, mes soucis
et finissais ma nuit.






















NEANTOI (selfie de poche)
Published 23 septembre 2022 Carnet de poche Leave a CommentÉtiquettes : ai attrapé des coups dsoleil…, autobiographie en branches, autoportrait, biaphine forever, la vie est belle mais faut pas pousser, poéme sot, salsifi, un cœur simple, vacances j'oublie tout, y a qu'a
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Naitre un dimanche à la mi mai
Effectivement ne prédispose
Au dur labeur qu’assez peu mais
Néanmoins peut rendre fait et cause
Tribulant dans le mal ou pis
Objet futile ô petit chose
Inestimable si seulement si…
Hors champs, des salades.
Published 2 avril 2022 Carnet de poche Leave a CommentÉtiquettes : autobiographie par les plantes, à perte de vue l horizon, bourgeonicide, début de la fin des haricots, humeur sautée, Sète ici Sète…, un cœur simple, une vue
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Ici j’eusse aimé pour saluer ce redoux facétieux vous lier une reprise de « sometines it snows in april » par les Ramones mais j’ai beau gougueuler rien ne vient.
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Photo de classe (celle avec les grimaces)
Published 13 octobre 2021 Carnet de poche Leave a CommentÉtiquettes : autobiographie par les plantes, début de la fin des haricots, dérapage tendre et bête de toi, et Freud dans tout ça, mauvais bulletin, même pas vrai, souvenir souvenir, un cœur simple
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Amoureux fou de la maitresse je cherchais tétanisé quelle grimace faire sans compromettre notre hyménée et c’est tremblant, contraint, contrit qu’enfin vers elle j’esquissai une timide convulsion du nez, implorant son céleste aval.
Sa moue terriblement glacée de louve silure exorbitée m’a précipité net hors champ d’une prometteuse éducation.
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Que sais-je ? (en bord de mer)
Published 19 juillet 2021 Carnet de poche Leave a CommentÉtiquettes : au large, à perte de vue l horizon, début de la fin des haricots, haïku con, les goulamasses de l'extinction, nos belles plages, pavillon bleu pétrole, poéme sot, sur le bord du cendrier, un cœur simple
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Mégot
par ta bouche abandonné
sur la plage bientôt
voit venir son reflet
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Voyageurs du temps jadis 2 (le retour)
Published 28 avril 2020 Carnet de poche Leave a CommentÉtiquettes : Alliance Railteam, Kimkardashian de 08:52, poèmes sots, trains, transports en commun, un cœur simple

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L’apprentie bombinette une fois
Repue d’emplettes,
Remaquillée de frais
Et d’édifiant Voici bercée
Par l’ennui submergée sombra
Dans les bras de Morphée (sncf)
Une chose est sûre
Même en rêve, je n’y étais pas.
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J’aime assez Lyon
Published 17 janvier 2017 Carnet de poche Leave a CommentÉtiquettes : Lou ravi en goguette, Lyon, transports en commun, Tricatel lâche-nous la grappe !, un cœur simple
… Ses quais, ses gares, sa niaque et ses bons petits plats trapus… oké, la Gaule moderne.
Mais Vennissieux, pardon, ça c’est une autre ritournelle, question paysages déjà : fabriques à nuages et torchères plus vraies que nature (mazette !) le charme fou du Seveso 3, et leur théâtre (matin !) : une perle rare dans un subtil écrin. Et si la chance vous y dépose vers midi, allez donc casser la graine au Café des Arts où en tant que bobo (éprouvette) je m’suis peut être senti un peu seul mais tellement entouré d’humanité bien nourrie aux vraies bonnes choses maison, dont le meilleur hachis Parmentier de l’hémisphère Nord qui passait en plat du jour, l’air de rien.
Le cimetière aussi est joli, et comme il surplombe, on est un peu au ciel.
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Une jolie Lyonnaise dans son métro.
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premier Janvier 2015
Published 2 mars 2016 Carnet de poche Leave a CommentÉtiquettes : à Paris comme ailleurs., début de la fin des haricots, transports en commun, un cœur simple
… Place des Vosges, au jour de l’an,
il faisait beau, légers les gens
c’était il y a bien longtemps…