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Neurone qui roule peu à peu mousse
et, pour l’heure écume l’aire
de repos, mais sans cesse
-debout comme assis- glisse
peu à peu vers la grande inconnue.
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(il faut tout faire pêter, mais doucement)
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…On ne fait que ça, plus ou moins, mais ça se complique parfois
comme ce soir où, de retour au bercail, j’ai erroné par trois fois mon code de vélo Vinci (ou Decaux mais qu’importe)
et donc vu ma carte bloquée et ma soirée noyée… j’avais mis ma plus belle écharpe pour aller revoir l’étrange et pénétrant Institut Benjamenta à Océan Nord… hélas!
…Mais j’y pense, et ça ne manque pas de sel, ce foutu code c’est sans doute ma date d’happy birthday!
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…On croit rêver…
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Longtemps j’ai cru à une grasse blague de corps de garde fort en thème, mais non, j’avais mal saisi César, qui n’a en rien été indisposé après être venu voir (et conquérir) le Pont-pas encore-Euxin.
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Je vais finir par croire que tout ce latin de cuisine du post précédent [sic] n’était pour moi qu’un prétexte à casser du sucre sur l’impalpable dos de Vinci.
C’est moche d’être retors à ce point.
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Longtemps j’ai cru que la Lyonnaise des Eaux (et son regretté Jean Marie Messier) s’était rebaptisée Vinci parce que Picasso était par Citroën déjà pris mais non, il s’agit bien de la cinglante conclusion de la fanfaronne formule du grand Jules.
Du pavé Bruxellois aux péages de Navarre, des parcs de France aux jardins Portugais des parkings souterrains aux parcmètres sur Mars, cette impériale bétonnière, cette macroboursoufflure pervenche possède et se bétonne tout le sol alentours, l’herbe que nous paissons, le macadam que nous foulons jusqu’aux tarmacs les plus pointus.
Au Petit Thouars – Lutèce
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Tout? non, seul un petit marécage du pays nantais résiste encore et toujours à l’envahisseur.
la salamandre serait-elle l’avenir de l’homme ?
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