C’est marrant cette machine qui
comme à la boucherie te mute en numéro,
en petit paquet d’attente,
zieutant à chaque drelin pixélisé
de l’écran s’égrainer tes prédécesseurs…
Mais pourquoi ce jour-là, dès ton numéro apparu, es-tu sorti d’un trait ?
« libéré, délivré, je n’attendrai plus jamais »
…oublié l’objet, le fond, le pourquoi.
tu repasseras.
On n’arrête pas le progrès.