Un an

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Super héro sans queue ni tête
bombe d’espoir et d’épatements
tes yeux redorent la planète
et c’est ma fête depuis un an

Rose matinale

Quelque part en juin 
Elle ne se doutait guère
On ne se doutait pas
Que bientôt à l’étroit
Serions sérieusement
Pour notre plus grande joie. 

Plouf

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Vague suis   
loin d’Hokusaï  
Sur les galets fonds   
ébloui et non.

légèreté pétalité paternité

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Réflection faite j’aime assez l’été.

Paternité (suite)

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kilo de plume, kilo de plomb

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À 9 mois
rien ne pèses ou presque
à peine plus que huit petits litres de lait
et c’est là qu’on mesure ton impact
ô ma météorite.

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J’étais gros dinosaure mal rasé,
me voilà gazouillant avec toi
qui fait fi des embruns avec une rare majesté
si bien qu’on ne sait plus trop
si c’est toi qui débarques en ce monde
ou nous entrés béats dans le tien.

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Quoiqu’il en soit, si tu dois nous le sauver,
t’as bien raison d’être si tôt levée !

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Derniers petits d’Aout

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Doit-on peut-on faut-il
Naître pour savoir téter ?
De soi rester maitre face à E.T ?
Émettre un doute ou s’entêter ?
Paitre pour pouvoir voter ?
Paraitre et s’avoir raté ?
Remettre ses devoirs d’été ?

 

 

 

Joie satellitaire

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Storytelling

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ils s’en furent à la maternité

où elle but un breuvage spécial

puis quelques bonnes heures bien gratinées plus tard

arriva ce qui devait arriver

et il se dit qu’il a ma foi aussi bien fait d’en boire

(un fond)

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?

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Paternité,

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