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Sous l’œil froid de ses pairs
l’apprenti goëland
du partage fait l’impasse et
rien non (rien de rien) ne lui manque
du Juvénile West Kayne
de la vieille Kardachian.
(il faut tout faire pêter, mais doucement)
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Sous l’œil froid de ses pairs
l’apprenti goëland
du partage fait l’impasse et
rien non (rien de rien) ne lui manque
du Juvénile West Kayne
de la vieille Kardachian.
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Que sommes-nous, fier volatile, quand ni toi ni moi ne sommes de plage ?
Où promènes-tu ton implacable babil, ton œil prêt à tout becquetage ?
Quant à ma pomme, où cours-je ?
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Où sue-je ?
Dans quel état plonge-je ?
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En chiens de fayence, le volatile et moi observons le silence. L’appeler Vendredi ?
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Tôt me ramène masqué, pas large chausse mon tuba d’un bond suis Tarzan, Tintin, Milou, Cousteau, l’Invincible Armada. Demain repassera.
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J’apprends qu’on dit du goéland qu’il pleure ou raille et je lui entrevois soudain un faux air de crocodile ou d’autoportrait.
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Peut-être poissons fûmes, sans doute amibes ou calamars, en moins moches, en plus gauches c’est selon,
en tout cas sommes encore bien touchants quand on se jette à l’eau.
Mais on dirait qu’à l’horizon les choses évoluent et que selon le sacrosaint principe du ruisselement nous arrive sur le coin de la cafeière le déluge, allègrement.
Bon…
Barbotte enfant de pélagie, ton tour de boire est arrivé.
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