
Droit comme un i
un os, un cierge
tangue un défi
gite une asperge
Sur l’horizon
un petit tour
et puissant fond
à la maison.
(il faut tout faire pêter, mais doucement)
Droit comme un i
un os, un cierge
tangue un défi
gite une asperge
Sur l’horizon
un petit tour
et puissant fond
à la maison.
Merci à la Ligue des Landes qui nous a programmés, nourris, blanchis, logés.
Merci au gîte aux pas si petits déjeuners, aux équipes enjouées et aux Landes de la Ligue.
À l’Océan aussi, sans cesse recommencé, à l’Emmaüs Bayonne Tarnos trop bien achalandé, à Hamelin Biot, épatant coutelier et au pastis landais, chaudement recommandé. Enfin merci, ô Mathilde, de m’avoir supporté.
. Abritée des poussières et du regard absente prenant d’antiques faux airs de défunte grand tente une téloche endrapée aux confins des P.O m’ampoula d’une idée Et si ah ! si seulement d’un grand coup, d’un linceul claquions tout ces clapets qui nous chassent et nous cueillent… Mais oui mais Que ferions-nous dès lors de tout ce temps plus mort ? Et vivre sans Drucker, serait-ce vivre encore ? Ça f'rait quoi du coup d'n’être plus cœur de cible ? À quoi notre cerveau se rendrait disponible ? Pensée en passant à feu le frère de Léotard.
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Alors, par-delà les avanies,
des coups du sort faisons bien fi et
fiers rebondissant au moindre incident, fut-ce
mes biens chers frères par les détours les moins avouables, ou en sauts de puces
Fut-ce, mes bien chères sœurs, par les tours les plus pendables, mais mordicus
avé vents et marées,
positivons !
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. Au sous-sol du Galion*** t’attend un chalet suisse matiné de Japon. Admettant que tu puisses un peu tourner le col à la télévision. .
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. . Elle face à l’Océan, fait l’île lui l’onde. Tout autour compte pour du beurre qu’ici bat mon petit cœur. . .
il vente un peu le temps nous pousse sous d’autres cieux amasser mousse.
Pour une sombre histoire d’implant, on m’a prescrit des antibios que docile j’avalai après la notice mais, alors que depuis belle lurette je n’associe plus générique et pinard, v’là-t’y pas qu’après peu, je me sentis déroger et deviendre à moi même un peu trop étranger : Agressif, brutassou, nerveusement épaissi et par ces milligrammes rendu potentiellement si mauvais que j’aurai pu même sans fiches remplacer l’Hanouna.
Mettant à profit une nuit par les nerfs écourtée j’allai sur internette voir si j’y étais et j’y appris que certains antibiotiques peuvent mener quelques (peu mais certains) éléments de la population aux urgences psy pour n’en ressortir qu’en puzzle, nantis d’une nouvelle et riante ordonnance. N’insistons pas me dis-je, cette came n’est pas pour ma pomme et trois jours plus tard, encore traversé de sourdes bouffées rageuses je comprends mieux qu’on puisse interrompre une soirée monopoly à coups de katana, ou voir dans les Soulèvements de la Terre de dangereux fellagas°.
° par là je me demande en bon sibyllin si certains contemporains n’abuseraient pas des antibiotiques voire des alcaloïdes.
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. . Comme au revers de djeff Bezos, ses trois étoiles d’emblée me laissent perplexe et si tout au Foch est moche sauf ceusses qui aux recoins y bossent on peut s’y déplier les os loin de la clim’ sans bouton, des cubes de basses avarices grises à la chaine Kyriad, Ibis et des sourires de carton.