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D’un ultime tour là-haut, so long verts paradis,
rentrer un peu fripé où le vent m’a greffé
Ahuri atterrir sans avoir tout compris
et reprendre racines, cette vie ramasser.
(il faut tout faire pêter, mais doucement)
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D’un ultime tour là-haut, so long verts paradis,
rentrer un peu fripé où le vent m’a greffé
Ahuri atterrir sans avoir tout compris
et reprendre racines, cette vie ramasser.
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N’en déplaise aux bons dieux,
à leurs fats affidés,
Par Vénus
on est né et de toute éternité
c’est the sujet fameux
de toute littérature
Celle pour qui affamé à la lune on hulule,
Pour souvent s’escamper au petit dilucule.
Celle de loin la moins pire
des moitiés de la Nature.
Celle qui pour un salaire souvent bien moins qu’honnête
fait du soir au matin tourner l’humaine planète
Je veux l’ici clamer sans semer de discorde
même si certaine parfois tire un peu sur la corde
qu’toutes proportions gardées
Juliette vaut Roméo
Carmen, l’affreux Jojo
Jean Seberg, Belmondo
Henri IV sa Margot
Reine Mathilde son Pippo
la putain son macro
Barbarella, Zorro
ô Rita Mitsuko
Même si et pour sûr
Bardella pas Bardot
Ni et ça c’est la meilleure
la Dati pas Malraux.
Décidément Maman,
Plus d’un jour par an
Sur terre nul·le n’est égaux !
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Et lorsque j’écoute ceci
j’ai envie de changer
de sexe
et de me mettre aux beaux arts
très très très très martiaux.
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Au vent d’autan
le tremble ondule,
l’onde gigote,
l’andouille pendule,
le pigeon trotte
éperdument.
Il est grand le mystère de la foi et dans son ombre s’en passe de belles. C’est pas tous les jours en effet qu’on peut voir l’esprit fiévreux d’un fervent nazi revenir du vert de gris empétré dans ses propres tripes. Pas tous les jours qu’on suit l’œil assoiffé d’une sainte Thérèse aussi béate qu’éblouissante.
Dans cet affresco cru coulisse une larme de rouge formica carmelite.
Alors certes, tout porte à croire qu’avec ou sans Nike on va dans le mur mais quelle langue mes aïeux !
Grand Merci Madame Wijckaert !!
https://balsamine.be/balsa_post/therese-clauss-philip-maria-scene-de-genre/
Et en plus j’y ai revu plein de copains !
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Retenez, sainte Marthe
Cet hotel Henri Quatre,
Au délicat panache,
Tarbais, franc, généreux.
Au matin en cuisine
le gascon fait les œufs.
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Comment ne pas, en cette sombre ère, se réjouir, à l’occasion ?
Et de mon frisquet compioutère saluer d’hautes distinctions
Échues sur les poitrines altières d’héroïnes top et d’exception
Youpi donc à qui sur cette Terre partout porte haut le francophon
Youpi donc en bord de mer à qui emporta le pompon
Agnès Limbos preuse chevalière de la Pleïade et sans façon
Karine Birgé récipiendaire d’un Fipadoc pour Voyage Bon.
J’ai parfois forte l’impression d’avoir à de bonnes gens affaire.
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.(youpi donc)
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Dehors la nuit filait
Noire et sans souci
Sans en perdre une miette
De ton pas de souris
Passais d’une aile amie
Sur ta cour des miracles
Aux côtés de nos plaques
Diaphane reinette
tu gloussais de nos frasques,
Thérapie délicate.
Térébenthine, acétone,
bercés dans c’te Babylone
rehaussée à la chips
à la pils ou au pǔ’ěr
Dans l’épreuve solidaires
Sous tes fameux auspices
Dans le même bain fûmes
étanches aux concurrences
(et pour les plus malins
Le goudron et les plumes)
Et quand tortionnaires
Arrivaient les vacances
Nous livrant au désert
Voire à la délinquance
Tu filais à la mer
Aérer ton enfance.
J’apprends con qu’aujourd’hui
L’acide froid bizarre
De méchante maladie
T’enfonce dans le brouillard
Et te part de ta vie,
Qu’il est déjà bien tard
Pour te dire merci.
Vite ! vite !
Une chocolaterie !
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Super héro sans queue ni tête
bombe d’espoir et d’épatements
tes yeux redorent la planète
et c’est ma fête depuis un an
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Tout est calme
et c’est l’aube
deejay sardou s’est tu
Il a duré longtemps
leur long feu de Bengale.
Des cyanobactéries
et sourde désormais
une carpe risque un œil
Sur le plan d’eau desert
traine un air d'Austerlitz
tout est sonné, cuit, cuit.
Plus loin dans les chaumières
les enfants de la patrie
repus au lit pépérent.
C’est dimanche et la vie
Merci moussu pour l’improbable lumière, la féroce éclaircie sprotchée sans compter sur ce pluvieux bas monde.
Et les anges s’ils existent ne pourront pas ne pas pogoter à gogo d’une irrepressible joie sur l’arc en ciel de stout que ton arrivée ne manquera pas de générer à la barbe refleurie du Très Haut comme les collines de Uisnech.
Kénavo ô grand Shane.
N’empèche, J’en suis tout retourbé
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Calme elle était toute à sa paix d’être sur l’horizon posée Puis doucement elle s’est glissée loin du rivage, évaporée laissant sur plage sa joie flotter.