.
.
10 mai 16 mai 17 mai
.
Je suis mon propre pape et je me suis compris
Cette vie en conserve c’est urbi et orbi
Faisons donc une ronde, mon ombre avec bibi
Et allons voir du monde, sans croire que c’est fini.
.
.
.
(il faut tout faire pêter, mais doucement)
.
.
.
Je suis mon propre pape et je me suis compris
Cette vie en conserve c’est urbi et orbi
Faisons donc une ronde, mon ombre avec bibi
Et allons voir du monde, sans croire que c’est fini.
.
.
.
Passer entre les doutes (dire bonjour aux drones ? se méfier des gamins ?) pour saluer l’impéritie des tampons qui nous gouvernent et nous vendent aux marchands de vent, car en ce drôle de matin de mai je me le demande : sommes-nous de la chair à dividendes ?
À certaines heures, on voyait presque la mer de cette cuisine à flan de coteaux (du Maelbeek, rien qu’ça)
Si une ancienne imprimerie a forcément du caractère, le travail y avait pour bibi un goût de colonie de vacances, d’antiques jeux de greniers et dans son précieux silence
les bois craquaient, l’acier vibrait, la pierre était fraiche et l’eau mouillait.
Ah les riches heures, les grandes personnes, les vastes mondes,
les perles rares d’un collier de nouilles stratosphérique qui défilèrent en cette ruche inespérée.
L’intemporel aura duré quarante ans. Mazette !
combien de couronnes ?
combien de ministres ?
combien de souris ?
Ces gens là, comment (et à quoi bon) mesurer ce que leur dois
Marianne, Jean, Didier, Guy…
Ô Sein gargantuesque et doux giron de Galafronie
Et pour votre confiance, merci infini.
a.
Tonton Francis.
Published 4 mai 2022 Actualité brulante , fenêtres , Gravures Leave a CommentÉtiquettes : chamipatalocho, Comment ça va sans la douleur ?, début de la fin des haricots, Hondschoote, les mœres, mes oncles, mon parrain, Téteghem
.