Vue de la chambre d’hotel, dont je tais le nom mais où l’on milite ferme pour la planète:
Dans la salle de bain, on vous engage à signifier par un code bien défini si vous désirez garder pour le bien de mère nature votre serviette ou non (tel le vil salopiot anti-environnement!)
(la suspendre au crochet ou la jeter à terre, avec tout le respect du à la femme de ménage*)
Par ailleurs, dans ce sombre établissement brochetté d’étoiles, si l’eau chaude tarde à venir (à cause d’une pièce défectueuse dans la chaudière) on vous conseille de faire couler l’eau pendant cinq à dix minutes.
J’ai bien accroché ma serviette comme convenu mais en rentrant le soir, une propre toute bien pliée m’attendait.
Empêché de sauver la planète, voilà ce qu’à Draguignan il m’arriva (ou pas)
*faisez gaffe, ça pourrait bien être Florence Aubenas,
c’est pas sorti hier mais ça reste un beau bouquin sur un de nos petits côtés grecs.
0 Réponses to “Dragui, c’est fini…”